2020.05.28 Obtenir le lien Facebook Twitter Pinterest E-mail Autres applications mai 28, 2020 sur ses hauts talonsle chuchotement des feuillesentre ciel et terre© Elie Duvivier - 28 mai 2020 on her high heels leaves' whispers between sky and earth Traduction Marianne Harvey Obtenir le lien Facebook Twitter Pinterest E-mail Autres applications Commentaires
2023.02.23 - Virginia Popescu février 27, 2023 premiers rayons - parmi les bourgeons de cerisier une araignée perdue © Virginia Popescu - 23 février 2023 first sunlight - among the cherry buds a wandering spider Traduit par l'auteure Crédit photographique : © Virginia Popescu Virginia Popescu est née, juste après la seconde guerre mondiale, en moldavie roumaine. Elle a fait carrière dans l'enseignement, celui du français. Elle a publié plusieurs recueils et anthologies. Photographe à ses heures perdues, elle compose des photo-haïku. Et quand elle n'écrit pas ou ne s'adonne pas à la lecture, principalement du haïku et de la poésie, Virginia écoute de la musique classique, de l'opéra. Elle apprécie les grands peintres que sont Vincent Van Gogh, Claude Monet, Salvatore Dali et bien d'autres... Sa définition du haïku est la suivante : " Le haïku représente la sincérité, l’intensité de ce sentiment de „vécu immédiat”, tout en le rendant avec sobriété. Cette intimité avec la Nature, cette fine perception Lire la suite
2023.02.16 - Marianne Harvey février 16, 2023 Oeil rond du moineau paume du jardinier ver grassouillet © Marianne Harvey-Bertrand - 16 février 2023 Round eye of sparrow rough hands of the gardener a very fat worm Traduit par l'auteure Lire la suite
2023.03.20 - Iocasta Huppen mars 20, 2023 Premières lueurs -- avec un chouïa de rêve nourrir le jour neuf © Iocasta Huppen - 20 mars 2023 Early morning light a tiny morsel of dream to feed the new day Traduction de Marianne Harvey Un joli cadeau d'anniversaire pour cette jeune quinquagénaire, née en Roumanie mais domiciliée à Bruxelles depuis de nombreuses années... Poète à temps plein, instigatrice du kukai bruxellois, Ioacasta a publié une dizaine de recueils depuis 2014 ! Elle doit certainement son dynamisme à son goût du sport comme le badminton ou la natation. Mais ces sources d’inspiration se trouvent dans les balades, les voyages ou les sujets photographiés au fil du temps… Elle définit le haïku de cette façon : « Pour écrire des haïkus, on marque une pause dans son quotidien en regardant la nature autour de soi pour qu’au bout du compte, ce soit sa vraie nature qui soit révélée. La difficulté de cette écriture est double : les images qui nourrissent le haïku sont éphémères et elles doivent être transmises Lire la suite
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